Tuesday, October 27, 2009

TRADUCOES PARA O MUNDIAL DA AFRICA DO SUL 2010

TRADUCTIONS POUR LA COUPE DU MONDE AFRIQUE DU SUD 2010

TRANSLATIONS FOR SOUTH AFRICA 2010

Le métier du traducteur

Tout comme les interprètes, les traducteurs sont les porte drapeaux du secteur des langues.Il arrive qu'on confonde ces "professionnel des langues", mais ces deux fonctions sont fondamentalement différentes. Voici les caractéristiques principales tant du métier de traducteur que de la formation qui y mène.

Le métier

Quel que soit le secteur dans lequel il travaille, le traducteur a pour mission de transposer un texte écrit d'une langue dans une autre.

La traduction s'effectue le plus souvent de la langue étrangère vers la langue maternelle. Ce travail exige donc une connaissance approfondie de toutes les nuances linguistiques de la langue étrangère, mais surtout une connaissance parfaite du français.

Il existe trois types de traducteurs : le traducteur littéraire, technique ou juré.

Le traducteur littéraire traduit un livre et doit donc s'adapter à la pensée et au style de l'auteur. Il restitue toutes les connotations sociales, psychologiques et esthétiques de l'œuvre qu'il traduit : roman, poésie, sous-titrage de film ou autre document cinématographique, composition de texte publicitaire, ….

Ceci suppose une maîtrise parfaite de la langue maternelle, de réels talents d'écrivain et une intelligence créatrice.

Le plus souvent, il travaille dans l'édition : il s'engage par contrat à traduire un ouvrage destiné à être publié.

Le traducteur technique est spécialisé dans un domaine particulier, ce qui implique une connaissance approfondie des domaines où il exerce son activité (documentation sans cesse remise à jour, évolutions techniques, …)

Ses qualités essentielles sont la précision et la rigueur d'esprit. Il s'attache à la traduction des publications scientifiques et techniques qui constituent la réserve la plus importante de textes à traduire à l'heure actuelle.

On le retrouve dans le secteur médical, électronique, multimédia, télécommunications, informatique, etc.

Le traducteur juré travaille quant à lui pour les tribunaux et traduit tout document à caractère officiel.

Le traducteur indépendant ayant obtenu le titre de traducteur juré aura préalablement prêté serment auprès du Tribunal de première instance en s'engageant à traduire fidèlement les textes officiels.

Pour mener sa tâche à bien, le traducteur disposera d'un équipement "nouvelles technologies" : ordinateur, accès internet, adresse-mail, fax, …

Il travaille le plus souvent en tant qu'indépendant. Dans ce cas, il se constitue une clientèle en prospectant lui-même le marché ou en accomplissant des travaux de sous-traitance pour un ou plusieurs bureaux de traduction. D'autres travaillent comme salariés. Le secteur privé et public offrent aux traducteurs un large éventails de possibilités d'emplois : parlements internationaux, ambassades, institutions bancaires, compagnies d'assurance et firmes diverses qui comptent un département traduction.

Compétences requises

En plus des capacités rédactionnelles, le métier de traducteur requiert une maîtrise parfaite de sa langue maternelle et une connaissance approfondie des domaines investigués.

Savoir-faire

  • au préalable : bonne connaissance et maniement correct de la langue maternelle écrite et parlée, bonne capacité de mémorisation
  • intérêt et facilité pour l'apprentissage des langues
  • bonne culture générale
  • suite à la formation : connaissance approfondie de la langue maternelle et des langues étrangères étudiées d'un point de vue syntaxique, grammatical, stylistique, lexical et culturel, spécialisation dans un plusieurs domaines tel quel l'économie, le droit, les sciences, …
  • connaissance des outils informatiques

Savoir-être

  • comprendre, analyser, restaurer et restituer avec fidélité et style un texte ou un discours d'une langue à une autre langue
  • capacité de rédaction
  • bonne culture générale et grande agilité intellectuelle pour pouvoir s'immerger rapidement dans les domaines divers
  • maîtrise d'une spécialité dans un domaine : économie, politique, droit, sciences, médical, technique, aéronautique, …
  • curiosité
  • rigueur et précision pour restituer avec fidélité les nuances du texte d'origine
  • recherche de documentation nécessaire à la compréhension du sujet
  • création et entretien d'un réseau de spécialistes, de techniciens ou d'organismes spécialisés susceptibles de fournir les renseignements nécessaires à la traduction
  • ténacité
  • capacité d'organisation pour terminer un travail dans les temps prévus
  • travail plus souvent en "solitaire"

Secteurs d'activité

Les traducteurs peuvent exercer leur profession comme indépendant ou au comme traducteur salarié dans la fonction publique (par recrutement sur concours pour des fonctions de diplomate, traducteur auprès des tribunaux, employé dans les administrations communales, régionales, etc), dans une organisation internationale (Union Européenne, OTAN, OMS, …), dans des entreprises industrielle ou commerciales, les banques, les compagnies d'assurance, etc. Il peut être intégré à un service de traduction ou travailler isolément. Certains traducteurs salariés exercent leur activité à domicile (télétravail). L'enseignement est également un des débouchés possible à condition d'avoir un titre pédagogique.

DIA DEL CORRECTOR

Los correctores celebran su día con una "cacería de erratas"


Madrid, 24 oct (EFE).- Los correctores han vuelto hoy a salir dispuestos a "cazar" erratas en las calles de Madrid, a denunciar el maltrato que sufre el lenguaje y a reivindicar su profesión, un oficio "antiquísimo" que aún no cuenta, dicen, con el reconocimiento que merece pese a que cada día es más necesario.

La Unión de Correctores, que cuenta en toda España con más de doscientos profesionales asociados, ha organizado esta peculiar cacería de erratas por tercer año consecutivo con motivo del Día del Corrector, que se celebra el próximo día 27 de octubre, fecha en la que, en 1467, nació el humanista Erasmo de Rotterdam, que también fue corrector.

Armados con sus cámaras fotográficas, los correctores han recorrido desde la puerta de la sede del Instituto Cervantes, en la calle de Alcalá -donde han "cazado" la primera errata, un "Sabado" con mayúscula incorrecta y sin acento-, hasta el monumento a Miguel de Cervantes, en la Plaza de España.

Al tiempo, a su página web llegaban las imágenes captadas en otras calles por otros profesionales del lenguaje, con erratas como un "Preparaté", un año "1.894", o una "consejeria" sin acento.

Todas las erratas cazadas formarán parte de un concurso, cuyos ganadores serán galardonados con un ejemplar del "Manual del Español Urgente" de la Agencia EFE.

Un anuncio de "Cerfiticados", un "charco valdío" en un cartel de un certamen de poesía, falta de concordancias o errores en las abreviaturas como "19:00hs" o "21H00", pero sobre todo palabras sin acentos como "Joyeria", "Confederacion", "Liquidacion", "Cerveceria" o "Meson", han sido las mayores presas, junto a errores en las mayúsculas como la del logotipo del Ayuntamiento de la capital, que escribe "madrid".

"El Ayuntamiento de Madrid parece que se tiene que ahorrar de algún sitio el dinero y se lo ahorra en mayúsculas y tildes, porque la policía sigue sin tilde", ha comentado a EFE Antonio Martín Fernández, presidente de la Unión de Correctores.

En su opinión, esta cacería, que hoy mismo celebran también los correctores de Argentina y México, pretende poner de manifiesto "cómo se maltrata el lenguaje" y cómo los correctores son cada día más necesarios porque "cada día se escribe más".

"El principal problema de los correctores es que tenemos un oficio antiquísimo, porque en el 1285 ya había correctores, y que sigue sin reconocerse. Nuestra asociación está consiguiendo que tenga ese reconocimiento oficial y profesional para que podamos cotizar en la Seguridad Social como correctores. Si hay astrólogos y cronometradores, ¿por qué no va a haber correctores, que es un oficio mas antiguo?", ha explicado.

Carmen Fernández, otra de las correctoras que han participado en esta cacería, ha asegurado que los correctores necesitan reivindicar su profesión porque es un oficio que "poco a poco se va perdiendo".

"Queremos que no se tome a la ligera la ortografía y no se vaya perdiendo cada vez más", ha apuntado.

"Hay gente que cree que con el corrector de textos informático se puede corregir mucho, pero no todo se puede solucionar con este sistema. Ser corrector es un oficio duro, que no se puede perder" porque, en su opinión, se nota cada vez más que "hay un problema de corrección" en lo carteles, en los libros, en los comunicados y "en la forma de hablar".

Los ganadores de la cacería de erratas de este año se conocerán dentro de unos días, cuando los miembros de la Unión de Correctores, que en 2008 galardonaron las palabras "Ofeta" y "Abujeros", estudien las recibidas en esta edición.

OPEN TRANSLATION


I Am Interested In My Mind

I am interested in my mind, and in my body. Previous to my having cultivated the habit of sitting, I had thought about myself and had used my body as a tool in the world, to grip a pen or to chop firewood, but I had never systematically, rigorously, observed my body -- what it feels like; not just with a shy, fleeting glance, but moment after moment for hours and days at a time; nor had I committed myself to observe the reciprocal influence of mind and body in states of exhaustion and rest, hunger, pain, relaxation, arousal, lethargy, or concentration. My quest for knowing is not merely objective and scientific. This mind-and-body is the vessel of my life. I want to know it with the same organic immersion that sets a snow goose flying ten thousand miles every winter and spring.

Because the harmony in me is at once so awesome and sweet and overwhelming that I love its taste yet can barely compel myself to glimpse it, I want to sit with the great determination that I need to brush aside the fuzz or distraction, the lint of petty concerns. To sit is to know myself as an unfolding manifestation of the universals of life -- a gripping, unending project. Hopefully one I can use even when I look into death's funnel. For me, this knowing is a great force, and a great pleasure.

I sit because of, for, and with an appreciation of daily life. The great poets sing of the omnipresent ordinary, pregnant with revelation -- but I know how easily and recurrently my own life yields to distraction, irritation, tunnel vision. I do not want to miss my life the way I once missed a plane at a New York airport. It may be ironic that simply to wriggle free of daydreams and worries I need a technique, a practice, a discipline, but I do; and I bow to that irony by doing what I must do to pry my mind off ephemeral worries, to wake to more dawns, to see my child unravel through his eddying transformations.

I sit to open my pores, skin and mind both, to the life that surrounds me, inside and outside, at least more often if not all the time, as it arrives at my doorstep. I sit to exercise the appreciative, receptive, peaceful mode of being filled up by the ordinary and inevitable.